mercredi 26 octobre 2016
mardi 25 octobre 2016
vendredi 21 octobre 2016
« La Pierre Tombale de Trézan »
Guy du Donjon de Corbeil, seigneur de Jouy et Trézan est le fondateur de l'église de Trézan achevé en 1215, qu'il dédit à Saint Guillaume en hommage de son frère.
Pierre tombale du XIIIè siècle provenant de l'église de l'ancienne paroisse du hameau de Trézan, détruite en 1821, symbolisant « les deux pouvoirs » (monument classé).
Cette pierre représente à travers deux personnages, deux pouvoirs de la société féodale: Guy du Donjon, Seigneur de Jouy et Trézan en Chevalier du XIIès. et à côté de lui, son frère Guillaume de Jouy du Donjon devenu religieux, nommé Prieur du Monastère de Pontivy puis Abbé de Chaalis, près de Senlis. En 1200, dans la continuité de son ascension, il devint Archevêque de Bourges tout en gardant l'austérité du Moine. Il mourut le 12 Janvier 1210 et fut canonisé par le Pape Honorius III en 1218.
Autour de la pierre, l'inscription rapporte le dialogue entre les deux frères qui résume le rôle assuré par chacun dans la société:
- Sainteté pour Guillaume: « Pourquoi crains-tu? Avec moi tu iras au ciel. »
- Guerrier pour Guy du Donjon: « Suis moi, je te protègerai avec mon Epée. »
sources: http://www.ville-malesherbes.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=94%3Al-eglise-saint-martin&catid=18%3Ales-lieux-a-visiter&Itemid=74jeudi 20 octobre 2016
La butte qui cogne, commune de Malesherbes hameau de Trézan
Mr de Malesherbes l'appelait le volcan de sable. son nom vient d'une curieuse légende. De temps en temps on entendait, le jour du Sabbat, de sourd grondement à l'intérieur de la colline. mais depuis la tranchée du chemin de fer en 1860, à moitié flanc sud de la butte, les lutins et les fêtes dégoutté en ont déserté le séjour, et le colline ne cogne plu! il y a peut-être dans cette légende plus de vérité qu'on ne le pense; en effet des sources très abondantes surtout au pied de la Butte, elles sont d'ailleurs captées. ces sources ont pu, avant leur aménagement, provoquée de glissement de couches de sables lissant les roches se fendant sous les actions diverses ont pu basculer dans ces cavités insoupçonnées de l'extérieur et provoquer de grondements étranges que les habitants du voisinages prétendait avoir entendu. L'hypothèses parait plausible! mais la légende est si joli!
sources: itinéraires Massif de Fontainebleaupar Greg Des Blocs
J. LOISEAU Le Massif de Fontainebl eutt Melun - Moret Nemours - Malesherbes Chàteau-Lrndon Montereau , !iI ù l TOME I GEIGRAPHIE - HISTIIRE. GENERALITES, L,. tÉczuots. paÉntsront. cÉoLoc rE. FAU NE. FLo RE. TOME II
mardi 4 octobre 2016
lundi 3 octobre 2016
A la recherche de mes ancêtres
Au départ quand nous débutons notre généalogie, nous
commençons par nous-même, nos parents, frères et sœur, ensuite nos grands-parents
et nos arrière grands-parents, parfois à ce niveau ça commence à bloquer. C’est
pour cela il est nécessaire de collecter le maximum de documents de famille,
récupérer les papiers de famille, les photos de mariage, les actes de naissance
et de mariage de nos parents et grands-parents, aller à la pêche aux
informations auprès des tantes, oncles cousins et cousines, souvent perdu de
vue, ce qui nous permet de renouer des liens familiaux. A ce moment l’arbre
commence à prendre forme, lorsque nous sommes à nos arrières grands-parents
nous avons la possibilité d’accéder aux archives en ligne.
Ces informations nous les trouvons auprès des mairies de
naissances, de mariages et de décès de ces personnes s’ils sont nés après 1902.
Pour les années antérieures à 1902 nous devrons consulter les archives
départementales et notariales. Aujourd’hui grand nombre des archives
départementales ont publié leurs archives sur le net, ce qui évite de se
déplacer ou de mandater une personne pour effectuer nos recherches.
Sur un acte de naissance, nous trouvons généralement hormis
la date et heure de naissances, les noms des parents, leurs âges, leurs
domiciliations et leurs métiers, l’identité des parrains et marraines, sur un
acte de mariage nous trouvons ces mêmes informations, plus la filiation des
époux, et parfois de la famille au niveau des témoins. En marge des actes
d’états civils mis en place en 1789 après la révolution, y est inscrit le
mariage et parfois la date du décès des personnes, ce qui facilite les recherches.
La mise en place des registres paroissiaux mis en
place à partir de 1698 par , l'ordonnance de Villers-Cotterêts, m’ont permis de retrouver la trace de mes ancêtres.
Avant cette date les registres
paroissiaux étaient réservés à la noblesse, car elles avaient des noms, seules
ces familles pouvaient retracer la généalogie de leurs ancêtres. Les membres du
clergé étaient généralement chargés de cette mission.
Dans un premier temps je m’étais arrêté à mes ancêtres
paternels et maternels, originaires de la région de Boynes (canton de
Pithiviers, Loiret), Orléans (préfecture du Loiret), Charly (canton
d’Ouzouer-les-Bourdelins, Cher) La Roche-Posay et Chazeneuil (Vienne).
J’avais renoué des liens avec
un cousin de Boynes, Rémi Brierre qui avait un arbre généalogique des
« Brierre de Boynes » trouvé sur un vide grenier. Cet arbre avait été
réalisé par Louis Hippolyte Brierre né en 1795, généalogiste de la famille. Il avait
réalisé une généalogie familiale édité en 1867 : Famille » Anceau
Brierre » Un travail remarquable avec des ramifications dans le nord de la
France et en Louisiane. A cet époque il n’y avait pas l’internet et le courrier
mettait des semaines voir des mois pour la Louisiane. L’édition de la
généalogie m’avait été transmise par un généalogiste amateur comme moi qui
suivait une branche des Anceau. Plus tard aussi grâce au net la fille d’un
notaire de Chambéry m’avait contacté pour me remettre une édition originale
d’Hippolyte Brierre trouvée dans les archives de son père.
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